Sur la scène de la vie, ils sont quatre : la mère, le père, le frère et Clara. Un acteur choisit la mort. Dès lors, le jeu change de ton, les rôles bougent. S’ensuit pour Clara une lente descente aux enfers où le corps s’exprime au-delà des mots, où la folie circule entre les êtres… Au bout de cette traversée, une nouvelle conscience s’éveille. Clara naît à elle-même, et son choix de vivre triomphe.Une complicité vraie, une vie brisée par le suicide d’un frère. Des relations familiales difficiles décrites en petites touches justes, sans détails inutiles. Ici, c’est la soeur qui raconte d’une voix douce. Une si douce violence. Un ton personnel, une écriture légère, sensible.
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…
• Boileau: “Vingt fois sur le métier” (Art poétique) • Ponge: “Une rhétorique par…