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Un jour, tu m'as dit :
«Tu as un cheveu gris sur ton bras nu.»
C'était tout au fond de l'après-midi,
Nous étions couchés sous des arbres connus.
Tu m'as dit, encore :
«Vois, les arbres sont touchés par l'automne.»
Et j'ai senti sourdre à travers mon corps
Le courant secret du temps monotone..
Table des matières
Avant-lire, par André Sempoux
PREMIÈRE PARTIE
Portier
Cafés
Portes fermées
Visages, voix
J'ai tant besoin de vous, ce soir
Faut-il…
Il s'agit
La biche blanche
Ces nuits…
Retour
Ne quittez pas
Printemps de l'homme
Mea culpa
Le métier du temps
DEUXIÈME PARTIE
L'heure étrange
Un somme de Chronos
À Tirano…
Devant l'Arno…
Les oliviers…
Voix de la mer
Tramontane
Branches de mai
La promenade immobile
Sieste au jardin
Des mots sans mots
Plus lentement
La halte mentale
Le fond de tout…
Le plus beau…
Fin d'un jour
Étonnements
Un jour, tu m'as dit…
La rue où…
Ascèse
TROISIÈME PARTIE
Chaque vie…
Quand les cafés…
Sur un trottoir
Les voisins lointains
D'un certain nous
Nous…
J'ai toujours pensé…
Dans la pénombre…
Ô nous…
QUATRIÈME PARTIE
Pourtant…
J'ai vu la vie
Ta nuit marche…
Exister
S'étonner d'être?
Fidélité
Je fête mon anniversaire
Vivre
Par respect
Je ne désire
Avoir été
Épilogue