« La lumière fait silence, l’arbre semble immobile qui traverse les siècles, mais le vent circule et l’arbre se prend à danser dans le cours des saisons. Le regard s’émerveille, méditer exalte les présences, les circonstances d’être, les connivences de frémissement. L’émotion embaume.
Il fait léger dans l’enchantement du monde et le ciel offre une issue tranquille. »
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…
Échange Virtualité délaissée des rêves du cybernespace, Virtuosité inconsciente aux vents…