« La lumière fait silence, l’arbre semble immobile qui traverse les siècles, mais le vent circule et l’arbre se prend à danser dans le cours des saisons. Le regard s’émerveille, méditer exalte les présences, les circonstances d’être, les connivences de frémissement. L’émotion embaume.
Il fait léger dans l’enchantement du monde et le ciel offre une issue tranquille. »
Auteur de Au grand jour
Ouvrez Au grand jour au hasard et voyez la page de droite. Un dessin entre crayon et fusain d’Alexandre Hollan prend le regard et pénétrez-y. Un fouillis de pensées commencent à s’immiscer entre les vides et pleins. Alors sans attendre, passez au premier vers sur la page de gauche. Entrez-y à l’invite de Jack Keguenne.Les deux-trois premiers vers résonnent directement. Ils font écho au dessin. Il est facile, voire évident de s’y approprier les traits d’Alexandre et les mots de Jack. Une silencieuse conversation à trois se met en place, en route.Puis Jack s’écarte, bifurque les vers suivants, vers ses propres sphères. Comme Alexandre de son côté, dont les entrelacs gris et cassés ont leur propre vie, avec…
Rien dans cette longue confidence qui ne soit placé sous le signe de l'amour. Il y a d'abord celui…