A partir des témoignages de personnes confrontées au décès d’un proche, l’auteure s’interroge sur la nécessité de faire son deuil, expression galvaudée qui selon elle ne correspond pas à la relation entre les vivants et les morts. Elle montre que les individus en deuil ne cherchent pas la plupart du temps à se détacher de leurs morts mais les intègrent à leur vie quotidienne.
C'est l'heure de la sieste et Ariane joue dans le jardin avec ses animaux en peluche. Tout à coup ils…