Le dernier livre de Béatrice Libert, Arbracadabrants publié aux éditions Le Taillis Pré, s’enracine dans une démarche précise, celle d’un exercice de style dont Éric Brogniet révèle la genèse dans son avant-dire éclairant. À partir d’un mot, « larmier », entendu lors d’un atelier d’écriture qu’elle animait, l’auteure, séduite par sa sonorité, imagine une définition poétique et en fait un arbre à larmes. Irrigués par la sève de ce « larmier », les autres textes, suivant le jeu de l’exercice stylistique, découlent presque naturellement pour donner aux boutures imaginées par Béatrice Libert leurs lettres de noblesse.Ainsi, nous découvrons dans cet herbier personnel, le « limonadier »,…
Sur les soixante poèmes qui composent le nouveau recueil de Béatrice Libert, trente-six…
L’Arbre du retour est le dernier roman en date du poète et romancier belge Luc Baba. L’auteur retrace dans ce récit l’histoire familiale de James Williams, père et grand-père afro-américain, qui se…