Résistance. Solidarité. Humanité. Ajoutons : mémoire. Transmission. Voilà quelques-uns des termes qui se détachent parmi tous les autres dans À fleur de mémoires de Marianne Lefebvre-Raepsaet, un livre consacré à sa mère, Lulu Raepsaet, déportée au camp de Ravensbrück et qui, comme beaucoup de survivantes et survivants des camps, a (très) peu raconté ce qui s’y était passé. Certain·es se sont même tu·es totalement, laissant leurs descendant·es aux prises avec des béances d’autant plus douloureuses. On pense, par exemple, à la mère de Chantal Akerman, si silencieuse (même si parfois bavarde), si présente dans la vie et dans l’œuvre de sa fille : « [le silence de ma mère] c’est sur quoi je travaille, depuis des années,…
Roman Quand il ne rend pas visite à son oncle Alain incarcéré à la prison de Forest, Jean parcourt la Belgique…
A Druentia, la vie des gens modestes n’est pas facile. Comme sa mère, Zia travaille comme couturière…