Nouvelles : suggestions aléatoires | Objectif plumes

Nouvelles : suggestions aléatoires

La nouvelle est parfois présentée à tort comme un genre mineur, notamment en comparaison avec le roman, qui serait alors le genre majeur et principal. Pourtant, de nombreux auteurs pratiquent aussi bien tout autant la nouvelle que le roman. En Belgique francophone, la nouvelle a d’ailleurs donné plusieurs œuvres majeures ces dernières années et connait un beau dynamisme éditorial.

Les recueils de nouvelles présentées sur cette page sont des suggestions générées automatiquement à partir des données encodées sur notre portail. Il se pourrait donc qu’occasionnellement, le même livre apparaisse plusieurs fois ci-dessous. Nous vous encourageons à rafraichir la page pour faire défiler les suggestions. Pour découvrir les recueils de nouvelles que nous recommandons en ce moment, rendez-vous sur la page littérature générale.

Nous sommes tous des playmobiles

La collection « Espace Nord » accueille dans son conservatoire…

Le père que tu n’auras pas

Père absent, père décédé, père légitime, père naturel, père inconnu, « père »…

La vie, en robe rose et noire

Dans La vie, en robe rose et noire , des solitudes égrenées…

Deux

Dans ce nouveau recueil de nouvelles, Catherine Berael nous offre sept histoires où elle fait la part belle à des…

Micro-drames

Lucas MOMMER , Micro-drames , Cactus inébranlable, coll. « Microcactus », 2024, 110 p., 10 € , ISBN : 978-2-39049-105-7Chaque…

En

Dans le champ de la nouvelle, Dominique Costermans lâche de jolis textes comme des petits cailloux sur le chemin de la vie. Les dix-sept récits de son nouveau recueil, En love mineur , récemment…

Nettoyage à sec

William a perdu son emploi et survit difficilement. De sa vie passée, il lui reste son costume et deux…

Passés imparfaits

Certains l’ignorent, d’autres en rient. Elle est subie, acceptée, recherchée, quittée…

Padouk s’en va

Padouk est trop malade pour survivre, il demande à ses amis, dont Jojo de la Jungle, de…

Saperlipopette

De la rencontre entre Juliette Nothomb et la maison d'édition Acrodacrolivres est né "Saperlipopette"…

Nuages d'enfance

Nuages d'enfance est un recueil de nouvelles centrées sur le thème de l'enfance, dont certaines sont destinées aux enfants et peuvent service de base à des animations scolaires. Le livre aborde plusieurs thèmes…

Éloge de la pince à linge

La pince à linge dont il est question dans les aquarelles de Roger Dewint n’est pas d’un plastique coloré ni d’un métal inoxydable ; elle est d’un bois plutôt brun clair (dans une gamme de couleurs se déployant du beige jaunâtre au gris terne), tendrement enserré et mordu par un ressort conférant à la fois unité et mobilité à ses deux bâtonnets façonnés. C’est celle qui est abandonnée sur un fil ou qui se repose au fond d’un seau après avoir rempli sa fonction de fixation ; celle qui obture les narines d’un personnage de bande dessinée face à une odeur intolérable ; celle qui se colle dos à dos avec ses copines et termine en sous-plat de « fête des pères » ou en bricolage plus élaboré à la façon François Pignon. C’est celle-là que l’on retrouve dans chacune des illustrations de Dewint ainsi que dans la première des deux nouvelles d’Ève Caligaert.  Elle aurait pu être disséquée et sur-qualifiée dans un poème pongien, elle se fit muse des Quatre Barbus qui retracèrent (sur l’air de la Cinquième beethovénienne) son invention, et elle inspire ici « Les Origines de la Pince ». Car son apparition est aussi multiple que mystérieuse : Chine, Égypte, Nouvelle-Zemble, Angleterre, Europe centrale, Japon, Colombie britannique, Carpates ? De tous temps et sous toutes les latitudes, ce petit objet (sacré ou quotidien ?) a traversé et symbolisé les civilisations. Et son potentiel est encore loin de se tarir : «  […] les chercheurs d’aujourd’hui, à l’affût d’innovations et de découvertes pour maintenir l’équilibre de la planète, se sont penchés sur les possibilités inexplorées qu’offre la pince à linge […] Mais il est trop tôt pour en parler, les brevets n’ayant pas encore été déposés. Par respect pour ces savants, nous nous voyons tenus au secret.  »«  J’ai de la chance, beaucoup de chance. Je vis dans une maison où l’on aime les chats. Je peux dormir seize heures par jour et m’éclipse la nuit sans qu’on y trouve à redire.  » Assurément, c’est une heureuse existence que mène le protagoniste du second texte du recueil : le félin de Elle et Lui. Elle est la femme de Lui, qui se verra attribuer un Nom (connu dans son pays comme à l’international) après des années de «  travail de bœuf, de vraies charrettes  », dans la solitude de son bureau rempli de crayons, de papiers, de doutes et de rêves. Ce succès, «  notion abstraite qui ne vous laisse plus paix  », bouleversera le bonheur tranquille de la fermette et détraquera par ailleurs «  la foutue pendule qui avait un mécanisme remarquable  ». La ronron-thérapie fera-t-elle des miracles ? «  Je n’ai pas le courage de vous l’expliquer  » dirait notre félin en fermant les yeux… À vous donc…

Restez chez vous ! Portes closes

Il faut nommer pour appréhender. Chaque récit porte ici le titre…

Du côté des librairies

Dans Éloge de l’amitié , Tahar Ben Jelloun écrivait : «  Le libraire est l’ami du livre ;…

Au bout du conte

"Sachez que je serai le plus heureux des hommes lorsque je verrai cette lueur toute particulière…

Le monde de Nestor

Le lendemain matin, quelque chose a changé dans le village. Les voitures…

Un dernier ver ?

« Que peut-il arriver à un pt’it black, vêtu de sombre, (qui parcourt) la campagne par…