Sarah Berti

PRÉSENTATION
Sarah Berti, 31 ans en 2006, est originaire de Rebecq, dans le Brabant wallon. Animatrice au Centre culturel de Quenast (Rebecq), elle réalise une foule de projets à l'attention des enfants et des adolescents. Danse, théâtre, dessin, écriture Toutes les disciplines artistiques l'intéressent. Mais l'écriture occupe une place tout à fait particulière. "Je ne me souviens pas n'avoir jamais écrit" explique-t-elle, "j'avais six ans lorsque je reliais moi-même mon premier roman qui faisait vingt pages! J'aime observer les gens, me demander à quoi ils pensent et parler des sentiments". La passion des mots et de la littérature ne l'ont pas quittée. Romans, nouvelles, pièces de théâtre, essais. Portée par un imaginaire fécond, son style est fait de simplicité et d'efficacité. Elle va toujours à l'essentiel. Librement. Voici son credo d'écriture : "Écrire c'est mettre des mots sur des silences. C'est bâtir par-dessus les abîmes et s'y pencher, pour ressentir le monde. Je suis née avec des cascades de mots à l'intérieur, alors je les laisse couler, tout simplement". Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2007

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Sarah Berti n’en est pas à son premier polar au sein d’une œuvre littéraire par ailleurs abondante, mais la Rebecquoise consent cette fois une infidélité à son terroir brabançon ainsi qu’à Tiziana Dallavera, l’enquêtrice favorite qui partage ses propres origines transalpines. Nous voila donc dans la région de Mons, à affronter la haine majuscule et inaltérable de Smeralda – jeune femme d’une petite vingtaine d’années – envers Antoine Jankovic, l’homme qui, en 2003, a été reconnu comme l’assassin de sa mère, Madeleine Auriol (alias Lena Orioles). Une mère artiste, pleine d’originalité, de sensualité et de joie de vivre, admiratrice inconditionnelle de Vincent Van Gogh dont elle entretenait religieusement la mémoire en tant que guide de la ville de Mons.…