L’auteur, Maurice Martin, s’ébroue dans des eaux familières en tant qu’ancien commissaire de police retraité de la brigade anticorruption, même grade, même service que ceux de Martin de Landsheer, personnage central de cette « affaire de Bruxelles » dont les prolégomènes nous ramènent au 19e siècle, à deux poètes dits « maudits » et à un fait-divers fameux qui vit (ou crut voir ?) Paul jouer du revolver contre son ami Arthur.Tout commence 140 ans plus tard sur le marché aux puces de la Place du Jeu de balle où le commissaire de Landsheer, cédant à son hobby dominical de chineur et revendeur (au noir évidemment), fait l’acquisition d’un vieux meuble qu’il confie à la brocanteuse Gladys, son amie et ancienne amante, spécialisée, elle, dans l’art de…