Jean-Luc Dubart

PRÉSENTATION
Avertissement : Jean-Luc Dubart, qui pense et a écrit que le poète ne se double pas d'une biographie et qu'il n'y a pas non plus en lui quelque chose qui serait un plus, au contraire, résume ainsi sa vie à la fin de deux oeuvres encore inédites (La terre va, le ciel demeure et Les chemins de la croix) :Une épouse. Deux enfants. Et quelques êtres dont je partage la vie. Et qui ont des noms, des prénoms, des corps. Et beaucoup de souffrances. Que faut-il ajouter de plus? Rien. Et surtout pas que je les aime.Voici cependant quelques précisions biographiques :Naissance de Jean-Luc Dubart le 29 décembre 1958 à Tournai. Cadet d'une famille de trois enfants. Études primaires et secondaires chez les Frères des Écoles Chrétiennes, puis licence et agrégation en philosophie ainsi qu'en sciences religieuses à Louvain-La-Neuve. Baccalauréat en sciences familiales et sexologiques.Mariage en 1987. Naissance de deux enfants : Sarah et Jean-Baptiste.Service civil à la section dialectale de la Maison de la Culture à Tournai (alors animée par Paul Mahieu), de 1984 à 1986. Création d'un jeu de piste à travers la patronymie régionale, qui donnera lieu à une édition en 1990 : T'as-ti in néom picard? De cette expérience, l'auteur prendra goût pour les recherches philologiques, qui lui donneront plus tard l'occasion de publier articles et ouvrages (voir bibliographie).Professeur de philosophie dans l'Enseignement Supérieur Paramédical (Iteho-Jeanne d'Arc) depuis 1987 et à l'Institut Supérieur de Culture Ouvrière (1992). J.-.L. Dubart enseigne aussi la catéchèse à l'Institut d'Enseignement Supérieur Pédagogique du Hainaut Occidental (Leuze-en-Hainaut) depuis 1981.Animateur culturel pour la Direction Générale des Affaires Culturelles du Hainaut (La Louvière) depuis 1986, Dubart anime aussi depuis 1994 avec Brundo Delmotte et Paul André des ateliers de dialecte à la Maison de la Culture de Tournai.Depuis 1992, il réalise aussi chaque semaine une émission de littérature franco-picarde sur Radio Tcheuw Beuzië (Pays des Collines, FM 107.8). Il est ainsi en relation avec de nombreux auteurs belges et étrangers.En 1989, son premier recueil publié, La métaphysique de la moisson, reçoit une bourse d'encouragement comme lauréat de la Communauté Française et en 1990, il reçoit le prix Plisnier pour un essai sur Vincent Wilhem Van Gogh, qui deviendra bientôt un récital poétique avec un texte autrement structuré et considérablement augmenté : La haute note jaune.Depuis 1991, J.L. Dubart est aussi chroniqueur picard et dominical à Nord-Éclair (édition de Tournai), où il a publié successivement Gins d'ichi (étymologie des noms propres), Prénéoms d'ichi (hypocoristiques picards), Osieaux d'ichi et Raveluques et brimborions (homonymies et faux amis français-picard).Pour la semaine sainte de Pâques 1996, J.-L. Dubart a écrit une version théâtrale des Chemins de la Croix, inspirés notamment de Péguy et de Claudel, et confrontant les réactions de la foule à deux époques différentes (avril de l'an 30 après Jésus Christ et 1996). Des représentations ont eu lieu à Tournai, Nivelles, Bruxelles, etc. site : http://www.dubart.fr.st

BIBLIOGRAPHIE


PRIX