Jean Lemaître

PRÉSENTATION
Tour à tour reporter social, responsable associatif, consultant européen, journaliste international et professeur de journalisme dans l’enseignement supérieur. Wallon d’origine, vivant alternativement aujourd’hui à Bruxelles et au Portugal, je me considère comme citoyen du monde, faisant miennes les valeurs de « liberté, égalité, fraternité ». Naissance en 1954. Université Libre de Bruxelles, master en journalisme et communication sociale. Dès 1978, premières années de journaliste dans la presse quotidienne. Rédacteur en chef d’un magazine de jeunes. Directeur de la fédération Wallonie-Bruxelles des centres d’information jeunesse (Infor Jeunes). Puis, consultant en information et communication pour différentes directions générales de la Commission européenne (emploi, éducation-culture, politiques régionales…). Je reviens alors au journalisme, sous statut « free lance ». Mes domaines de prédilection : le social, l’Europe, l’international. J’obtiens en 1994 le « prix spécial du journalisme social », décerné par le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme, et la Fondation Roi Baudouin. Enfin, je suis engagé, dès 2002, comme professeur à l’IHECS-Bruxelles, l’Institut d’études supérieures en communications sociales. Outre mes charges d’enseignement, j’y serai nommé directeur des Relations internationales et du département de Formation continue de l’Institut. Préretraité en 2016, je peux enfin m’adonner à temps plein à ma passion : les enquêtes de terrain au long cours, et la littérature sous différentes formes : biographies, essais, romans.  Dans mes livres, j’aime aborder les questions d’engagement et de liberté, en conjuguant le passé au présent. De langue maternelle française, je parle couramment le portugais et l’anglais.
NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

« Peut-on revendiquer le titre de journaliste en restant dans sa bulle, sans avoir éprouvé sa qualité de citoyen du monde, sans capacité d’empathie avec les populations en souffrance ?» Max, un journaliste à la retraite (un autoportrait de l’auteur ?), a de la suite dans les idées. Ayant développé un lien intime avec l’Alentejo, une région méridionale du Portugal, il décide de réaliser un vieux rêve et de gratter sous le vernis d’une légende croisée des années plus tôt dans l’un de ses villages, Cuba : Christophe Colomb, le Découvreur, y serait né, à l’encontre de tout ce qui se lit dans les livres depuis des siècles.Malgré une écriture simple, parfois naïve ou relâchée (« casser sa pipe », « des vertes et des pas mûres », « des carabistouilles »,…