Arnaud Nihoul

PRÉSENTATION
Arnaud Nihoul est né à Liège en 1966, est architecte et vit dans la région de Namur. Dès l’adolescence, la passion de la lecture l’a poussé à écrire ses propres textes qu’il a conservés dans ses tiroirs au fil de sa progression d’auteur. Il a participé à de nombreux ateliers d’écriture et concours de nouvelles dont trois ont été primées (Concours de la nouvelle policière RTBF 2006, Concours du service du livre luxembourgeois 2012, Concours de la nouvelle maritime de Binic 2013). Il s’est aussi lancé dans des projets de roman (dix manuscrits) pour le plaisir d’imaginer des histoires dans les lieux qu’il aime, des îles, bretonnes ou écossaises, ces endroits entre mer et ciel où les éléments se déchaînent parfois et où la lumière n’est jamais la même. En 2019, il publie chez Genèse Editions Caitlin et en 2020, Claymore, des romans à suspense sur des îles écossaises, dans un décor vivant, avec des personnages emplis d’humanité.

BIBLIOGRAPHIE


PRIX
  •   Prix littérature "Sabam for culture" 2020 (Caitlin)
  •   Prix Saga Café 2019 (Caitlin)


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Laggan, une île au petit goût d’Hébrides, modestement peuplée et, battue par les fureurs océaniques… Des entassements de roches que dominent un phare difficilement accessible et la tour d’un vieux château édifié autrefois par le clan écossais des Campbell… C’est le décor de Caitlin, premier roman publié par le Namurois Arnaud Nihoul. Décor que Ian, natif des lieux, redécouvre à l’appel de Morgan, son ami d’enfance, éternel gagnant toujours très sûr de lui et devenu aujourd’hui un écrivain de réputation mondiale dont on s’arrache les romans policiers. Vingt-trois ans plus tôt, les deux adolescents et Murray, un troisième compère, avaient accueilli dans leur bande Caitlin, une fille de leur âge, farouche et d’une « mélancolie rude », arrivée…


Le Carnet et les Instants

Pourquoi le whisky goûté par Liam, jeune apprenti de la distillerie Dandarach sur l’île écossaise d’Ardoran avait-il ce goût étrange de linge sale, de transpiration et de cuivre ? Normal : vérification faite, le gâte-sauce est un cadavre racrapoté qui marine dans le tonneau. Celui d’un étranger qui pourtant ne doit pas être un vagabond puisque son poignet arbore une Rolex, promulguée naguère symbole de réussite par un pape autoproclamé de la sainte Publicité. Vu de plus près, il apparait que l’homme ne s’est pas immergé pour vérifier le principe d’Archimède applicable à tout corps plongé dans un liquide et qu’il n’est pas mort non plus d’une overdose de ce whisky haut de gamme, mais bien d’une balle de fusil qui l’a tué aussi sec.Constatations subsidiaires et…


Le Carnet et les Instants

Le doute est bien souvent le meilleur moteur d’une enquête policière. Il est nourri par le sentiment trouble, encore indéfini, que l’on ne peut se résoudre à accepter pour telles les conclusions tirées d’un enchainement de faits que rien ne semble relier. À la base, deux décès et une disparition.Une galeriste ne donne plus signe de vie le jour du vernissage d’une exposition qu’elle consacre à un peintre assassiné le même jour. Trois mois plus tard, le compagnon de la disparue, lui-même peintre, décède d’une crise cardiaque dans des circonstances troubles. Dans son testament, ce dernier lègue trois tableaux représentant sa compagne galeriste à la fille de celle-ci, Elena. La jeune femme, elle-même peintre est précisément gagnée par le doute. La police est tentée…