Sophie Museur

PRÉSENTATION
Sophie Museur vit à Bruxelles où elle a été formée à l'Ecole internationale de théâtre Lassâad. Si elle vadrouille un temps entre théâtre et cinéma, son cœur bat surtout du côté du Jeune Public pour lequel elle a écrit, joué et mis en scène de nombreux spectacles pour le compte de diverses compagnies. Curieuse de tout, elle est aussi certifiée nouvelles pratiques philosophiques, en apiculture et en politiques économiques et sociales, et étudie la langue arabe. Pop est son premier roman.

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Pop, c’est la gamine que sa sœur chambre. Ben oui, c’est quoi cette manie de s’asseoir sous le billard de La boule de Feu, ce café où trainent leurs parents tous les soirs, et d’observer « les jambes des gens, celles des tables, des chaises et du flipper aussi », chipoter avec les restes de chips tombés par terre, assister au spectacle des gens qui s’enivrent, se frôlent, remuent, titubent ? Et pourquoi cette petite lui colle aux basques quand elle désire s’éclater avec son copain du moment ou avec ses amies majorettes ? Et qu’est-ce qu’elle est pénible, aussi, lorsqu’elle lui rappelle les interdits et les punitions qui pleuvent alors qu’elle, Fani, aspire à un peu de vie et de légèreté. Mais, en même temps, elle l’adore, son encombrante sœurette ;…


Karoo

Pop, c’est son surnom, ça vient de « Pop song », mais son vrai prénom, c’est Stella. Stella, comme la bière, mais surtout comme les étoiles. Pop, elle aime laisser sa tête voyager dans les étoiles, mais elle revient vite sur terre pour comprendre le monde qui l’entoure. En fait, ce qui l’interpelle surtout en ce moment, c’est l’univers des adultes. Ce n’est pas très étonnant, l’environnement dans lequel Pop grandit est un vrai terrain de jeu pour cela. Ses parents tiennent un bar, « La Boule de feu ». Là-bas, il y a des tas d’adultes à observer, des tas de conversations à écouter et à essayer de comprendre.

En tant que lectrice, je me suis très rapidement attachée au personnage de Pop. Je pense que cela commence dès que l’on porte le livre…