Jean-Sébastien Poncelet

PRÉSENTATION
Lecteur pathologique et versatile, Jean-Sébastien Poncelet décide en 2013 de franchir le pas et prend lui-même la plume pour ne la reposer que deux mois et demi plus tard. Il lui reste à choisir un titre. Ce sera La tendresse des séquoias. Son premier roman prend corps à Bruxelles où il est né et vit aujourd'hui.

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Courant sur vingt-cinq années, le roman de Jean-Sébastien Poncelet ne laisse pas d’étonner par la déroulé de sa narration. Procédant par touches d’informations successives, il assemble les pièces d’une intrigue mouvementée sur la ligne du temps en nous livrant dans le désordre des épisodes datés. Tout démarre à Tchernobyl, donc en 1986, alors que la centrale nucléaire vient d’exploser et que les premiers secours s’affairent dans une improvisation évidente. Un homme employé à la centrale part appelé par le devoir. Au terme d’une journée qui le fait vieillir d’un seul coup et dont il ne se remettra pas, il revient dans l’appartement familial pour dire aux siens de fuir. Sa femme et sa fille Alina quittent les lieux sans attendre. Des années plus tard, nous…


Le Carnet et les Instants

Avez-vous déjà senti, respiré la force et la douceur d’un arbre que vous étreigniez, avec la certitude d’être à votre juste place dans le monde ?C’est sur le souvenir ineffaçable de ce moment presque mystique que s’ouvre – et s’achève – le roman de Jean-Sébastien Poncelet La tendresse des séquoias.Ne vous y trompez pas : entre ces instants suspendus, d’une intime plénitude, d’une mystérieuse communion, l’auteur vous emmène insensiblement par des chemins tortueux, cernés d’ombres inquiétantes.Le cadre : Bruxelles.Les personnages principaux : Charles Letellier, critique d’art redoutable, expert en pamphlets au vitriol, qui n’hésite pas à pulvériser un talent, s’il risque de porter ombrage à ceux qu’il soutient et défend depuis longtemps.…