Jean-Luc FONCK

PRÉSENTATION
Jean-Luc Fonck est le cadet de trois enfants, il a deux soeurs. De père en fils, depuis le grand-père, on est boulanger chez les Fonck. Jean-Luc vit à Arlon jusque l'âge de douze ans puis débarque à Bruxelles où il rencontre Mimi sur les bancs d'une école bruxelloise. Mimi et Jean-Luc font les quatre cents coups, elle pousse un peu la chansonnette et lui essaie tant bien que mal de jouer de la guitare.«Tout a commencé par une blague, tout s'est poursuivi par une blague. Je ne savais ni chanter, ni lire une partition». C'est en 1975 que Sttellla naît officiellement avec des potes de l'école (ils sont parfois neuf sur scène). «À nos débuts, on jouait pour une poignée de fans. À la fin, on donnait des concerts devant six mille personnes». Il a acquis depuis une certaine maîtrise de l'art de l'humour par l'absurde.C'est le contrat avec le label français «Boucherie Productions» qui fera de Sttellla une valeur sûre des festivals. Entre 1975 et 1993, le groupe donne plus de cinq cents concerts en Belgique, en France et au Québec.Fin 1993, la rupture avec Mimi entraîne la fin de Sttellla sous forme de duo, et c'est en 1995 que Jean-Luc Fonck entame en Suisse sa première tournée en solo, puis plus tard accompagné d'un groupe, une tournée de deux ans et cent cinquante concerts qui ont réuni au total cent vingt mille personnes.Jean-Luc Fonck fut également membre de l'équipe du jeu des dictionnaires ainsi que de la défunte émission La Télé infernale.

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

«Je m’appelle Hubert. On m’a déjà dit que c’était un drôle de prénom, mais personnellement, je ne trouve pas. Pour moi, Jean-Jacques ou Thierry, ça, ce sont de drôles de prénoms. Fabienne aussi. Mais Hubert, non, je trouve que c’est un prénom comme la plupart des autres prénoms sauf ceux que je trouve drôles. Enfin, de toute façon, ce livre n’est pas consacré aux prénoms et à leur taux de drôlerie. On ne va donc pas en parler pendant plusieurs lignes.»Ainsi s’ouvre la dernière grenade textuelle que Jean-Luc Fonck nous lance entre les mains, et qui nous explose au visage toutes les quatre lignes. Le Monty Python à toute berzingue dans la diligence de Laurence Sterne avec Alice en guise de cocher, fouettant les chevaux en leur balançant…