LE COURAGE : Zenel Laci et Angélique Burnotte par Delphine Freyssinet

Les Oiseaux de nuit – éditions de théâtre belge francophone,
avec le soutien du théâtre de Poche, proposent :

 « LE COURAGE »
Rencontre littéraire

Zenel Laci et Angélique Burnotte

interviewé.es par la journaliste Delphine Freyssinet
(journaliste culture et société RCF Radio)

Autour de leurs ouvrages – VIVRE (Z. Laci) et
TU TE SOUVIENDRAS DE CE QUE TU LUI AS DIT (A. Burnotte) –

nous évoquerons ce thème, « le courage ».

Samedi 30 septembre de 14h15 à 16h00

Dans le foyer-bar du théâtre de Poche
1a, chemin du gymnase – 1000 bruxelles

Entrées libres mais réservations indispensables à : lesoiseauxdenuit.editions@yahoo.com

 La rencontre sera suivie d’une séance de dédicaces.

Le bar du théâtre sera ouvert.

Angélique Burnotte est licenciée en Histoire de l’Université de Liège, elle est chercheuse et assistante de direction à l’Institut d’Études du Judaïsme (Université Libre de Bruxelles) depuis 2003. Elle poursuit des recherches sur l’histoire du judaïsme, principalement en Belgique et à Arlon. Elle est l’auteure de différents articles et d’un ouvrage : Juifs en Pays d’Arlon. Une communauté au XIXe siècle (2005).

« Avant de la rencontrer, je m’étais renseignée auprès de spécialistes sur la manière de conduire l’interview d’une personne ayant vécu la Deuxième Guerre mondiale. Elles m’avaient prévenue : « Ne laisse pas le témoin prendre le dessus et digresser. C’est toi qui mènes l’entretien !… Dès les premières minutes avec Mariette Jacob j’ai compris que ce ne serait pas possible. »

Zenel Laci est diplômé en scénographie de l’Institut Saint-Luc de Bruxelles et au Centre d’Études Théâtrales de l’Université Catholique de Louvain. Il a écrit, créé et scénographié des pièces pour différents théâtres et compagnies belges avant de fonder, en 2010, la Compagnie Fritland-Théâtre. En 2019, il interprète son propre rôle dans Fritland, joué au Théâtre de Poche, dans une mise en scène de Denis Laujol.

« Il y a un magasin qui me plaît bien à Bruxelles : C’est « H & M ». Ça veut dire : Homme et Madame.

C’est une copine qui me l’a dit. Elle s’appelle Angela.
Elle habite juste au-dessus de chez moi.

En fait son vrai prénom c’est Bouzita.
Je crois que ce magasin l’aide à vivre. Elle est toujours fourrée là-bas.
Angela, elle me dit :
– Qu’est-ce qui est mieux : s’habiller à l’européenne et profiter de la vie dans la rue où rester enfermée chez soi et crever de solitude avec la bénédiction des parents ?»