Résultats de recherche 1 à 30 (84)

Frédéric Sojcher, Le Cours de la vie

Frédéric Sojcher, professeur de cinéma, écrivain et réalisateur, a remporté une quinzaine de récompenses pour ses films et a…

Cinergie - 06 2023 - Vue de Cinergie juin 2023

Sommaire • Frédéric Sojcher, Le Cours de la vie par Dimitra Bouras , Vinnie Ky-Maka • Actualités du cinéma en Fédération Wallonie-Bruxelles…

Cinergie - Juillet 2019 - Cinergie juillet 2019

Sommaire • Une Théorie qui tient debout par David Hainaut ,  Tom Sohet • Concours: livre de photos Le Regard des regards par Jean-Michel…

Cinergie - Vue 1-2022 - Vue du site Cinergie Janvier 2022

Sommaire • Sur la plage, abandonnés. L’Ennemi, film de Stephan Streker, 2021 par Grégory Cavinato • Lire  les…

Dans la maison, par Karima Saïdi. (Presque) tout sur ma mère

Comme un prolongement de son premier court intitulé Aïcha, Karima Saïdi…

Main basse sur le film (livre)

À l’occasion de la sortie du nouveau livre de Frédéric Sojcher Je veux faire du cinéma, un manuel de survie en terrain hostile il est intéressant…

Cinergie - Vue 05-2021 - Vue du site Cinergie - mai 2021

Sommaire • Dans la maison, par Karima Saïdi. (Presque) tout sur ma mère par Sarah Pialeprat • Romy Trajman et Le Divorce…

Romy Trajman et Le Divorce de mes marrants

Jeune réalisatrice belge, Romy Trajman a réalisé un premier long-métrage Le Divorce de mes marrants avec la co-réalisatrice Anaïs…

Cinergie - Cinergie - Vue 2020 - Vue du site Cinergie - décembre 2020

Sommaire • L’Amérique des Wallons, un film de Robert Mayence,1975, sur Auvio (2020) par…

Cinéma à l’université. Le regard et le geste

En cette rentrée académique et artistique de septembre 2020, le livre intitulé Cinéma à l’Université.…

Bénédicte Linard, ministre de la Culture et des Médias de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Face à la crise sanitaire , le monde culturel se débat pour survivre. Plus que jamais. Alors que les salles de spectacle et de cinéma ont fermé leurs portes, les artistes paient les pots cassés. Spectacles annulés, tournages reportés, ils «se réinventent», c’est en tout cas ce qu’on leur demande de faire, pour le moment. Indépendamment des circonstances, les acteurs du monde culturel ont toujours dû se débrouiller, avec les moyens du bord, avec leur statut précaire. Comment Madame Bénédicte Linard, Ministre de la Culture compte-t-elle, en collaboration avec son équipe, améliorer la situation? Comment rendre la culture accessible à tous? Comment soutenir ces créateurs et créatrices? Comment mettre davantage en lumière la gent féminine dans le secteur culturel? Madame la Ministre a du pain sur la planche. * Cinergie : Dans une de vos interviews on apprenait vous aviez comme leitmotiv l’engagement. Qu’en est-il de cet engagement avec ce premier mandat de Ministre de la Culture? Est-ce que vous avez l’impression que vous allez pouvoir changer le monde culturel? Bénédicte Linard : On essaie d’améliorer les choses et on s’engage, moi et mon équipe. Je pense qu’on avance et que nous allons dans le bon sens, mais nous sommes un peu freinés dans notre ardeur avec la crise car nous sommes obligés de gérer quelque chose que nous n’avions pas prévu et qui s’installe de manière durable, particulièrement dans la culture. Je mise beaucoup sur la construction et l’intelligence collectives. Cela prend parfois plus de temps, mais c’est souvent plus efficient et efficace lorsque nous avons travaillé avec les premiers concernés que lorsque l’on prend des mesures qui ne tiendraient pas compte des réalités de terrain. Vers où voulez-vous aller, quel est votre but? De manière générale, mon intention par rapport à la culture, c’est d’ailleurs ce que les écologistes ont toujours défendu, c’est de faire en sorte que la culture soit accessible au plus grand nombre. Je crois très fort que la culture est un des fondements d’une démocratie. Je pense qu’on a droit à la culture dès le plus jeune âge ; et mon travail, c’est de rendre cette culture accessible au plus grand nombre quel que soit le profil qu’on peut avoir. On doit travailler à un soutien des créatrices et des créateurs, à la diffusion aussi. Et on doit s’assurer qu’il y ait une diversité suffisamment grande pour que tout un chacun puisse se reconnaître dans ce que l’on offre en matière culturelle. Aujourd’hui, quelles stratégies aimeriez-vous mettre en place pour parvenir à ces buts? Dans le domaine culturel, on travaille au soutien des créateurs et des créatrices. Même en dehors de la crise, on renforce aujourd’hui le soutien à la création. C’est indispensable et on fait un focus particulier sur tous les arts émergents et sur l’innovation. C’est important aujourd’hui de soutenir l’art dans ses différentes formes. On a aussi un travail lié à la diffusion qui risque de prendre plus de temps. Aujourd’hui, on a des talents dans de nombreuses disciplines mais on a parfois un manque d’espace de diffusion que ce soit chez nous ou à l’étranger. En cinéma et en théâtre jeune public, on a des ressources et des talents incroyables qui s’exportent déjà bien et on doit pouvoir continuer à soutenir cette diffusion vers l’international. Travailler au soutien à la création et à la diffusion, c’est permettre à nos artistes de pouvoir exister, c’est permettre aussi de renforcer le lien avec les publics particulièrement en cinéma mais pas seulement. On essaie de travailler à la mise sur pied de politiques qui font le lien entre des opérateurs culturels existants, des artistes parfois liés ou non et le public sur un territoire défini. Je pense que la question de l’ancrage territorial est vraiment très importante parce que je pense que la culture, au sens large, permet de divertir mais aussi de s’interroger sur soi, sur le monde, de faire face aux événements auxquels nous sommes confrontés, de permettre de comprendre et de réagir, d’anticiper le futur. C’est en ce sens que la culture doit s’ancrer dans le territoire dans lequel on existe. Renforcer une culture imprégnée dans un territoire, c’est aller toucher plus de public. Je pense que c’est fondamental aujourd’hui que l’on puisse avoir plus de culture et faire en sorte que non seulement on puisse assister à de la culture mais aussi participer à de la culture. Ces deux points sont fondamentaux et c’est ce que nous essayons de faire lorsque l’on renforce la culture à l’école, dans les milieux d’accueil. On se dit que tout enfant devrait avoir accès à la culture dans son parcours et les politiques doivent jouer un rôle là-dedans. Vous pensez spécifiquement à la culture dans les écoles? Il y a bien sûr un travail qui est mené pour renforcer la culture dans les écoles à travers le parcours d’éducation culturelle et artistique (le PECA) qui fait partie du pacte d’excellence. Ce parcours est en train d’être construit avec Caroline Désir pour augmenter la place de la culture pendant tout le parcours scolaire. Il y a aussi un travail qui est en train de se faire pour renforcer l’éveil culturel dans les milieux d’accueil, dans les crèches, en collaboration avec l’ONE. Il y a des budgets dégagés pour augmenter cela dès 2021. On se demande aussi quelle est la place de la culture dans ces autres lieux de vie par lesquels les jeunes passent. Par exemple, dans les maisons de jeunes, dans l’extrascolaire (l’accueil temps libre), il y a un travail à mener pour renforcer la culture toujours au bénéfice des jeunes. Parfois, les jeunes n’ont pas le loisir d’avoir accès à la culture dans leur contexte familial donc il est primordial que les politiques à mener leur donnent cet accès soit en étant spectateurs soit en étant partie prenante. Vous êtes entrée en fonction au moment où le cinéma était en pleine crise (cinémas fermés, tournages suspendus, professionnels du métier sans réel statut). On se rend compte que l’aspect économique et l’aspect création artistique sont fortement liés.  L’année 2020 pour le cinéma est marquée par deux défis: la réponse à la crise sanitaire qui touche le secteur culturel et l'avancée vers une vision du cinéma qu’on porte. On doit mener les deux de front. Par rapport à la crise sanitaire, on tente d’accompagner le secteur de deux manières: dans ce qui est de notre champ de compétences mais aussi en interaction avec d’autres niveaux de pouvoir. On sait, par exemple, que pendant la crise, la Fédération Wallonie-Bruxelles a dégagé un budget de 6 millions d’euros pour accompagner le secteur du cinéma. On a eu des actions comme «J’peux pas, j’ai cinéma» cet été, on a permis grâce à un fonds de garantie que les tournages aient lieu. On est obligés de travailler avec des niveaux de pouvoir autres puisque le Tax Shelter, qui soutient le secteur, dépend du Fédéral. On a mené ce travail et on va continuer pendant l’année 2021. À côté de cela, il y a aussi la question: «Qu’est-ce que le cinéma en Fédération Wallonie-Bruxelles aujourd’hui? Qu’est-ce qu’il devrait être et comment on travaille à cela? ». Je suis convaincue qu’on regorge de talents et de capacités d’innovation qui sont très présentes. On est très forts dans les coproductions tournées vers l’international, dans l’animation. On a des talents liés à certains métiers parce qu’on a vu arriver dans les temps, des producteurs et des réalisateurs qui ont renouvelé le genre cinéma en Belgique avec Jaco Van Dormael, Lucas Belvaux, les frères Dardenne mais on a aussi des professions qui sont des atouts, des valeurs ajoutées. On a des directeurs photo, des monteurs et monteuses, des costumières qui ont une plus-value. Aujourd’hui, on doit travailler sur deux pans: comment est-ce qu’on peut mieux soutenir nos créateurs et créatrices? Comment donnons-nous du temps à nos…

Monachopsis, film de Liesbet van Loon, "prix Cinergie ANIMA 2021"

Selon le Dictionary of Obscure Sorrows, le terme monachopsis désigne…

Cinergie - Cinergie - Vue 02-2021 - Vue du site internet - février 2021

Sommaire • Monachopsis, film de Liesbet van Loon, "prix Cinergie ANIMA 2021" par Bertrand Gevart…

Cinergie - 228 - juillet 2017 - Webzine juillet 2017

Sommaire • Nicola Mazzanti, Directeur de Cinematek par David Hainaut • 25e Festival « Le court en dit long » à Paris au Centre…

Le cru 2016 de l'Insas

Chaque année, au mois de juin, c'est une tradition, Bozar accueille les films de fin d'études des étudiants de l'INSAS, l'école supérieure des arts du spectacle…

Cinergie - été 2018 - Août 2018

Sommaire • Jeanne Brunfaut, Directrice du Centre du Cinéma par David Hainaut ,  Tom Sohet • Ioan Kaes et PlayRight, société belge de gestion collective des droits…

Mémoire de missionnaires

La jeune réalisatrice Delphine Wil livre son premier film : Mémoire de missionnaires, un documentaire qui raconte la colonisation belge au Congo sous un angle…

Paul Meyer, le franc-tireur du cinéma belge

(Article paru dans Cinergie, Webzine 120, octobre 2007) Qu’est-ce qui fait un grand cinéaste ? Ses films, mais aussi la manière dont il participe…

I’m not your negro

Réalisé par le cinéaste haïtien Raoul Peck, ce film était présenté cette année dans deux festivals internationaux du documentaire en Belgique : Docville, à Leuven,…

Cinergie - 202 - Mars 2015 - Webzine mars 2015

Sommaire • Guy Jungblut, éditions Yellow Now : rencontre par  Serge Meurant • Vita brevis de Thierry Knauff : Une vie exaltée par  Fred Arends…

Cinergie - 220 - novembre 2016 - Webzine novembre 2016

Sommaire • Le tournage de Blue Birth, par Benjamin Deboosere par Fred Arends • Cobra Films à l'honneur   • Brussels Art…